Promenade,
07 février 2007
Ici, côté vallée
Il fait un temps maussade à Givet, mais en arrivant à Pichegru, quel étonnement de voir que le haut de la colline est... Légèrement enneigé !
Là, côté colline !
Les chevaux se livrent à leur occupation favorite.
Fleur, toujours hyper motivée, vient me voir en premier !
Les vilains pieds de Kalif (il re-boite, encore :-(
Les pieds de Fleur repoussent très vite, va encore falloir les couper !
Lotus, comme d'habitude, attend que je vienne à lui.
Aujourd'hui, c'est essai du bât. Il faudra que je règle d'une autre manière la bricole, et raccourcisse un peu les lanières de l'avaloire.
Pour le reste, tapis et arçon sont bien adaptés.
Lotus roupille à moitié, pas stressé de la vie celui-là ! Le bois que l'on voit derrière est leur abri.
C'est parti !
Lotus sous le givre des arbres.
Un chêne que j'aime bien, givré.
Deux arbres amoureux, enlacés dans une looongue étreinte
Je monte sur le talus, pour mieux voir ! Les troncs se sont confondus ! Pour comprendre l'explication passionnante de ce phénomène naturel, reportez-vous au dernier numéro de La Hulotte, le journal le plus lu dans les terriers !
Une petite photo d'en haut !
De l'autre côté du talus, voici l'ancien chemin, qui n'était pas accessible en voiture...
Nous prenons un chemin encore inexploré, qui est d'habitude caché par les feuilles.
On arrive en bas, voici le fameux arbre cassé.
Je ne vois jamais personne, pourtant un chemin est bien tracé pour le contourner. Preuve que des gens se promènent par ici !
Les Haflis arrivent comme des dératés... Etonnant que Fleur fasse partie de cet élevage... Calme comme elle est, ça doit être l'exception qui confirme la règle.
Pas moyen de rester en place 2 secondes pour la photos !
Hum, Lotus en profite pour tenter de les renifler !
Il tire même sur sa longe !
Je laisse l'appareil quelques minutes, pour régler le problème ! Non mais ! Il faut surtout étouffer tout mauvais comportement, dans l'oeuf.
Ca y est, il attend sagement sans tirer, comme d'habitude.
Voilà qui est très bien !
Les haflis sont complètement, perpétuellement, surexcités, les voilà qui virevoltent encore.
Un semblant de pause.
Nous empruntons le chemin recouvert de tout-venant.
Au revoir petits Haflis !
Les Haflis ne sont pas vraiment détendus.
C'est reparti !
On descend la route forestière.
Lotus écoute les bruits de la centrale atomique.
On remonte par ce chemin, sur la droite, que je n'avais jamais eu le courage d'emprunter.
Ca patine, dans les feuilles !
Je grimpe sur le talus, mais aucune vue de paysage splendide ne me réjouit; sauf celle de Lotus bien sur !
On reprend notre chemin habituel, en côte. Voici les racines des arbres.
Un petit air fantomatique.
Ceux-là sont torturés.
Un esprit nous croise, vaquant à ses occupations :-)
Ces racines-là font un plat de spaghetti.
Je laisse lotus remonter seul, on a des rythmes trop différents, moi je monte lentement mais sûrement, lui, il fonce, puis se repose.
Il ne cherchera à brouter qu'une seule fois, ce qui est un net progrès !
La forêt givrée, en haut de la colline.
Un peu de Conduite par l'arrière; J'adore cette photo !
Encore un bon moment...
Ca y est on y est presque !
Après avoir désharnaché, on va voir les installations du hangar nouvellement agrandi : les veaux sevrés, en stabulation...
les veaux nouveaux-nés, avec leur maman, et le papa, César.
Et tandis que je repars, Lotus me fait un clin d'oeil ! ;-) !