Représentations de chevaux

Voici des chevaux-pédalos à La Roche en Ardenne, en Belgique.

Ici une sculpture du Panthéon

Tapisseries du Panthéon représentant des scènes de la vie de Clovis.

Ici le cheval, présenté de manière romantique, est à l'image du guerrier Attila : sans selle ni bride, tel un coursier indomptable et sauvage, impression accentuée par les longs crins indisciplinés.

Scènes de la vie de Ste Geneviève :

Scène de la vie de Jeanne d'Arc :

Chevaux dorés d'un pont à Paris (impossible de me rappeler le nom :-( )

Chevaux à Aix-la-Chapelle :

Statue en bronze devant la place du Théâtre

Effigie de cheval avec des lunettes devant un restaurant

Je me demandais si ce n'était pas un resto spécialisé en viende de cheval mais j'ai pas pensé à regarder les menus...

Enseigne d'une auberge médiévale

La fontaine des Marionnettes : le cavalier

Les personnages sont articulés et on peut les faire bouger à sa guise.

Cheval dans la vitrine d'une agence immobilière.

Chev al dans la vitrine d'une pharmacie (Apotheke)

Les chevaux dans l'art : comme voilà quelques années à Luxembourg, des vaches avaient été offertes à des artistes, pour qu'ils les décorent et les exposent en ville, à Aix, ce sont des chevaux qui ont servi de support. Ces deux-là surplombent le MacDonalds.

Il y en a aussi un jaune.

La beau jaune-orangé.

Un cheval à volutes dans une galerie marchande.

Des sculptures modernes faites de bric et de broc (fers, seaux, vieux arrosoirs)

Les chevaux sont affublés de vraies brides de chevaux de trait, à oeillères

Le cheval chez les peintres flamands :

Brueghel le Jeune

Le cheval de gauche, gris foncé aux crins plus clairs, attend devant un arbre, il n'est pas attaché mais la bride retient sa tête dans une position haute. Les étriers pendent bas sous le ventre.

Le cheval de droite, alezan crins lavés, est monté par un cavalier très droit dans sa selle, portant des éperons. La selle est retenue par une avaloire.

Au centre, deux riches personnages montent des chevaux pie, un pie-noir et un pie-alezan. Les chevaux sont au placer et leur selle est maintenue par une bricole. Le cheval pie-noir porte une lanière qui joint la têtière et le frontal de sa bride. Les cavaliers montent à 2 rênes, posées sur les branches du mors.

Au loin, un cheval alezan galope, dans l'attitude antique où les posétieurs sont ancrés dans le sol, tandis que les antérieurs se lancent loin en avant.

Les chevaux patientent devant les arbres, mais sans être attachés.

Les chefs de l'armée sont montés, le reste des soldats va à pied. Tout ce monde porte l'armure.

Toutes sortes de robes sont représentées, chevaux blancs, noirs, gris, bai, alezans, pie. Les cavaliers se tiennent droits et montent étriers longs.

Scène d'action : à gauche, un cheval noir au galop, au centre, un alezan trotte, de même que les chevaux à droite (blanc et noir) montés par des chevaliers en armure.

Au centre, des seigneurs se font supplier par des parents éplorés, noter la coiffure de la queue du cheval aux crins lavés, très élégante.

Les chevaux portent avaloire et bricole, les cavaliers montent en mors de bride, à 2 rênes dans la main gauche, ce qui laisse la main droite libre (pour porter, manier l'épée, ...)

Jument et poulain au haras. Ici le peintre a eu le souci du détail, il n'a pas peint "des chevaux" mais carrément des portraits de personnages équins

Le cheval gris pommelé, nous présente son derrière, poutant, sa noble tête est montrée de face.

Les bons gros chevaux flamands, jarrets clos, selles à battes. L'homme aide l'amazone descendre.

Ici un couple est monté sur un vieux cheval gris, oreillard et mal musclé

Là des personnages sont montés de côté sur les bâts des ânes, "à la campagnarde". Les ânes mangent leur picotin dans un sac.

Ici, des ossements humains côtoient un squelette chevalin.

Ces cavaliers, fondus dans le paysage d'hiver, paetent à la chasse avec leurs chiens et leurs valets.

Une grande scène de bataille ; c'est la panique. Des chevaux effrayés galopent crins au vent, tandis qu'un soldat à pied essaie de retenir sa monture.

Des chevaux morts, affalés, recroquevillés ou les 4 fers en l'air, jonchent le sol du carnage. Les cavaliers à terre sont écrasés sous le corps de leur monture. Un cheval bai tente de se relever, tandis qu'un soldat essaie de tirer son compagnon de dessous le corps du cheval mort, hideusement contortionné, au premier plan.

Dans cette scène de cauchemar, seuls les trois personnages centraux marchent d'un pas calme aurpès d'un cheval isabelle serein, sous l'oeil d'un roncin bâté chargé de matériel (à droite) qui préfère s'économiser plutôt que de participer à l'hystérie collective.

Le chariot bâché, à 2 roues, monte la côte tiré par un vaillant cheval bai. Le cheval est muni d'un couvre-reins en toile écrue. Les brancards du chariot reposent sur une sellette ressemblant à un bât, sur lequel le meneur de l'attelage est assis en biais. L'homme manie un fouet mais ne tient même pas les rênes, qui reposent simplement sur le collier de bois. On remarque que le cheval porte des oeillères et une muserolle, et a le front marqué d'une pelote blanche.

St Martin, sur son étalon blanc richement harnaché, coupe avec son épée son manteau de soieries pour en offrir la moitié à des pauvres, ici représentés sous forme de mendiants mutilés et contorsionnés.

Scène familiale où le cheval transporte une mère et son bébé dans une charrette à deux roues, menée par le père assis de biais sur le bât/sellette.

Des armateurs, campés du haut de leurs chevux surveillent l'embarquement des denrées sur un navire. Les étriers sont réglés longs, la monte est droite, les 4 rênes tenues à une seule main, les chevaux sont au placer et leur selle est retenue par avaloire et bricole. On peut remarquer les formes musclées et les pieds forts des chevaux élégants.

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