Pas de deux aux longues-rênes :

spectacle ibérique

Le cheval bai a un mors espagnol ou goyo-aga monté sur un bridon à grosses boucles dorées.

La jeune fille attend d'entrer en scène avec son beau cheval bal.

Entrée des artistes sur la piste.


La femme qui mène le cheva lpie est la championne de France de Doma vaquera visible ici .

La jeune fille qui mène avec non moins de talent le cheval bai est son assistante dont hélas nous n'avons pas su le nom.

Le cheval pie, vêtu de bleu et or, n'arrêtait pas de tirer la langue...

La caractéristique de l'école espagnole est de mener très près du cheval, ce qui dispense de mettre un surfaix.Certains chevaux de l'école d'Art équestre de Jerez prennent ainsi l'habitude de marcher avec les postérieurs légèrement écartés, afin de laisser de la place aux pieds du meneur qui est presque "collé" à leur croupe. Ici on voit la jeune fille avancer son pied du même côté que le postérieur du cheval, afin de ne pas le gêner ou être heurtée par le boulet.

Détente au trot

Chaque cheval longe un grand côté...

Puis ils se rejoignent sur le petit côté.

A deux, au trot

Trot le long du grand côté. Les pieds des chevaux et des dames sont parfaitement en rythme.

Portrait du cheval bai

La dame se tient à hauteur des cuisses, légèrement de côté. Les mains touchent la croupe ce qui permet de ressentir les mouvements du cheval.

Ici on voit bien les mains posées sur la croupe

Pendant les déplacements latréraux, un petit coup d'oeil pour juger de la synchronisation...

Moment de repos : un temps de pas actif.

Sur la ligne du milieu, le piaffer (ggr maudit buisson !)

Les chevaux se rendent au bout de la carrière, marchant ou piaffant.

Saluts sous les aplaudissements

Coucher du cheval bai.

BRAVOOO !

Le cheval pie fait lui aussi la jambette.

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